C’est CERTAIN que la situation suivante t’es déjà arrivée (surtout si tu habites au Québec 😂). 👇
Sur l’autoroute, tu es dans l’impossibilité de te tasser dans la voie de gauche et une personne tente de rentrer sur l’autoroute aussi lentement qu’un escargot. 🐌 Encore pire si tu vois les lumières de freins s’allumer. 😡
S’ensuit une bonne dose de colère (et peut-être quelques mots d’église 😬😂).
L’autre jour, j’ai vécu exactement cette situation alors que je me rendais au travail. 🚗
Ma routine matinale à la maison avait été plutôt mouvementée avec ma Troizan qui s’affirme de plus en plus. J’avais même eu droit à une crise avant mon premier café de la journée. ☕
Ça fait que quand je me suis fait couper en voiture, j’ai fait un parallèle intéressant. (Après les mots interdits 🙄… Je te rassure, j’étais seule dans la voiture. 😅)
Le parallère (pas le stationnement, je te rassure!)
Quand nos enfants vivent une émotion intense à cent-mille à l’heure, sur l’autoroute de leurs émotions, c’est vraiment VRAIMENT une mauvaise idée d’aller leur freiner dans la face. ❌
En leur demandant d’arrêter tout de suite, « net fret sec », on a plus de chance de causer un carambolage d’émotions que de réellement esquiver une crise. 🤷♀️
Lors de la prochaine crise de ton mini, pense à comment tu fais ta cessation de passage (ton « céder », en bon québécois 🔺) sur l’autoroute.
- Laisse de la place à ton mini pour vivre son émotion ; 👋
- Ajuste-toi à lui ou à elle ;
- Ne te fâche pas si tu es en compagnie de ton mini. 🤭
Comme toutes les situations du trafic qui t’irritent, la crise de ton coco va passer, elle aussi. 🙏
Tu es une bonne maman. ❤️
Si tu cherches des outils pour pratiquer ton mini à identifier les émotions, viens découvrir « La couleur de mes émotions » juste ici.