Fais-le pour toi! Tu as le droit de penser Ă toi… le devoir, mĂȘme! đȘ
Je ne sais pas pour toi, mais quand mon premier enfant a fait son arrivĂ©e dans ma vie, mon rĂŽle de maman a pris le dessus… laissant de cĂŽtĂ© mon chapeau de femme. đ„ș
Je pense sincĂšrement qu’aucun conseil, formation ou commentaire n’aurait pu me prĂ©parer adĂ©quatement pour affronter les nuits blanches, les remises en question, les hauts et les bas, les p’tits maudits microbes, et j’en passe. đ„
C’est exigeant, le dĂ©but de la parentalitĂ©. Je ne te cacherai pas que j’ai trouvĂ© ça difficile en « titi » (pour rester polie!). đ
à force de faire passer les besoins de ma famille devant les miens, je me suis oubliée.
Avoue que tu me comprends, toi aussi. đą
Ce soir, j’ai le goĂ»t de te dire que tu as le DROIT de t’accomplir. đ«Ł
Tu as le DROIT d’avoir des rĂȘves, des objectifs. đł
Tu as le DROIT de te dĂ©passer. đ„č
Essayer un nouveau sport t’intĂ©resse? Fais-le. đââ
Tu veux Ă©crire un livre? Commence! đ
Tu veux faire un retour aux Ă©tudes? Pas game! đ€
Je le sais, ça fait peur. đš
Mais tes enfants n’arrĂȘteront pas d’exister parce que tu te donnes le droit de rĂ©ussir tes ambitions. âïž
Quand je me sens coupable de faire des activitĂ©s sans ma famille, je me rappelle que quand je vais les retrouver, je serai encore plus heureuse et dĂ©tendue. Mes minis ne sentent pas que je les mets de cĂŽtĂ©… et on a encore plus de choses Ă se raconter lorsqu’on se retrouve.
Maintenant, la balle est dans ton camp. C’est toujours le bon moment de penser Ă tes ambitions et tes rĂȘves… ce projet que tu as peut-ĂȘtre mis sur « pause » depuis que tu es maman. Tu as le droit de penser Ă toi. Non… que dis-je… tu as le devoir de penser Ă toi! đ
Si tu apprĂ©cies ces rĂ©flexions, sache qu’on t’en partage plein dans cette section du site internet pour gonfler d’amour ton grand de maman. Bonne lecture!